228 à 231 : Couleur de peau : Miel

Mes deux-cent-vingt-huitième, deux-cent-vingt-neuvième, deux-cent-trentième et deux-cent-trente-et-unième lectures sont les quatre tomes de la BD Couleur de peau : miel de Jung

   

Voici le synopsis du premier tome : "Jun Jung-sik errait dans les rues de Séoul quand un policier l’a pris par la main pour l’emmener au Holt, un orphelinat américain. Il avait alors 5 ans. Quelques photos, un rapport d’orphelinat… Ses souvenirs tiennent à un fil. Mais les questions le taraudent.
2007 : Jung décide de remuer les souvenirs ou les fantasmes de sa vie, en tout cas d’en finir avec une certaine période teintée de l’incertitude qui ronge. Il se raconte dans ce récit terriblement intime : sa survie en Corée, sa nouvelle famille belge. Une adoption pas toujours très réussie, contrairement à d’autres gamins.
Mais cette histoire est la sienne : il a grandi avec, s’est construit avec, jours après jours, vaille que vaille. Les fous rires, les drames, le quotidien, les bêtises de gosses et les questions sans réponses… Sans aucune réponse ?"


J'avais déjà vu le dessin animé. La bande dessinée semble un peu plus amère, mais elle aborde aussi plus en profondeur certains aspects de l'histoire... 
Une bande dessinée à lire absolument car elle traite de sujets grave : l'abandon, l'adoption, le racisme, la culture, la construction d'une identité personnelle ...

105. L'enfer des crocodiles

Ma cent-cinquième lecture est une autobiographie de Freddy Boller : "Ngandu Mabé, l'e,nfer des crocodiles"

Freddy Boller était banquier avant de devenir chasseur de crocodiles professionnel dans la région du Congo.

Je suis entrée en possession de livre vraiment par hasard. Il trainait dans ma PAL depuis des années et cela faisait quelques temps que je me disais que je devrais le lire. Voilà qui est fait.
C'était une lecture plutôt agréable. Le livre est bien organisé : tout commence avec une interview et la décision de l'auteur d'écrire son livre et l'origine de sa passion pour la chasse aux crocodiles. Ensuite, il présente les différentes espèces de crocodiles puis les récits de ses sessions de chasse.
A l'exotisme de l'Afrique, les dangers de la chasse, s'ajoute que ce récit se déroule à l'époque de l'indépendance du Congo. Il faut donc replacer ce livre dans le contexte des années soixante et ne pas (trop) s'offusquer des (nombreuses) touches de colonialisme et de paternalisme racial que l'on peut y trouver.

A ne pas lire avant de se baigner dans une rivière ou un lac. 

PS : Une lecture qui compte pour le challenge "à chacun son époque" et le challenge des chiffres

13. La nostalgie heureuse

Ma treizième lecture est un livre d'Amélie Nothomb : 

Voici la quatrième de couverture : "Tout ce que l'on aime devient une fiction"

Dans cet ouvrage, l'auteure raconte son court séjour au Japon accompagnée d'une équipe de télévision filmant ses retrouvailles avec le Pays du Soleil Levant, les lieux de son enfance (son quartier, son école...) et des personnes de son passé (sa nourrice, un petit ami...). 
Un livre agréable à lire, un récit autobiographique très limité dans le temps qui porte bien son titre : le bonheur de se remémorer le passé malgré la douleur de certaines retrouvailles ou de certains adieux. 

A lire avec une tasse de thé, si possible assis sous un cerisier en fleurs. 

PS : Cette lecture compte pour "La Coupe des 4 Maisons" et le "Challenge des Couvertures".