samedi 31 décembre 2016

183. Au bord de la ville

Ma cent-quatre-vingt-troisième (et dernière de l'année) lecture est un roman jeunesse de Roland Fuentès :

Voici le synopsis : "Sylvère et les siens vivent sur un terrain vague où se sont établis leurs ancêtres, au bord de la ville dont la masse indistincte, déployée derrière un rempart de hautes tours blanches, les inquiète et les fascine à la fois. Les habitants des cabanes entretiennent auprès de leurs enfants une méfiance viscérale vis-à-vis de celle qu’ils surnomment la Dévoreuse. « Termine ton assiette ou je te jette à la ville », ont ainsi coutume de dire les parents. Un jour pourtant, Podagre, le meilleur ami de Sylvère, le plus chétif aussi de ces gamins grandis au milieu des ronces, prend sans prévenir la direction des barres de béton blanc et part sans se retourner…"

cela faisait plusieurs fois que je le regardais sur le rayonnage de la médiathèque et je me suis finalement décidée à l'emprunter. Une lecture sympathique mais sans plus. Une fin un peu trop gentille pour un récit très jeunesse.  L'histoire se déroule dans une époque assez vague, un futur (?) indéfini, dans une région tout aussi indéfinie... On peut donc imaginer le décor de l'histoire selon son gré. l'histoire aborde les thème de la différence, de la ségrégation, mais aussi de l'ouverture à l'autre, de la confiance ...
Bref, une lecture gentille pour finir l'année. 

Bilan

Cette année j'ai donc lu 183 livres ! Un record je crois... mais il faut l'avouer qu'il y a beaucoup d'oeuvre jeunesse dans le lot !

Pour ce qui est de mes challenges, je n'ai pas vraiment su tenir le coup.

Pour le challenge "Hymne à la terre" je n'ai pas lu grand chose depuis mon bilan de mi parcours ...   :c

Je n'ai guère avancé dans mon jeu des 7 familles puisqu'il m'a fallu retirer quelques livres (suite à une nouvelle règle rétroactive) et donc j'ai eu l'impression de faire du sur place.

Le Torture Reader Challenge est enfin achevé ( ouf) et je n'ai acheté que 4 livres en cette fin d'année ... plutôt pas mal après un an de sevrage d'achat livresque. J'ai pris l'habitude de me fournir à la bibliothèque et ça me va bien comme ça pour l'instant.  Bon évidemment, j'ai acheté quelques (pas mal) livre pour mon bébé .... mais ça ne compte pas vraiment !

J'ai participé aussi au challenge des couvertures, que j'aime beaucoup.

Et au challenge-énigme "à chacun son époque" et grâce à une collègue, j'ai même pu trouver la solution de l'énigme !

Enfin, je me suis inscrite au challenge sur fb "La coupe des 4 maisons". je suis dans la maison Serpentard qui perd lamentablement, mais nous n'avons pas dit notre derniers mots et je compte bien valider chaque item !

182. la troisième vengeance de Robert Poutifard

Ma cent-quatre-vingt-deuxième lecture est un roman jeunesse d'un auteur que j'apprécie beaucoup : Jean-Claude Mourlevat 

En lisant le synopsis je n'ai pas m'empêcher de sourire : "Comment occuper sa retraite quand on a été toute sa vie instituteur en CM 1 ? 
Robert Poutifard n'a qu'une idée en tête : se venger de ses anciens élèves. Leur faire enfin payer ces années de chahut et d'humiliation ! La vengeance est un plat qui se mange froid, et Robert Poutifard leur prépare une vraie surprise du chef. Ces sales mômes vont vraiment déguster !
Et si le maître d'école détestait les enfants ? Une histoire méchamment drôle pour savourer les coups les plus tordus et les situations les plus atroces !"

Une histoire amusante d'un maître d'école qui décide de consacrer sa retraite à se venger de ses pires élèves, les plus méchants, ceux qui lui ont fait certaines crasses innommables. 
Un récit savoureux ! Pourtant la fin est un peu trop heureuse ... c'est dommage.

A lire avec une compote et un biscuit, ou un bon chocolat chaud. 

vendredi 30 décembre 2016

181. Le chant du troll

Ma cent-quatre-vingt-unième lecture est un artbook de Pierre Bottero illustré par Gilles Francescano.
Voici la quatrième de couverture :
"- Psssst ! Est-ce que tu es prête ?
- Je ne sais pas de quoi tu parles. Prête pour quoi ?
- Le basculement a débuté..."

Il s'agit d'un joli conte fantastique qui aborde un sujet grave et triste mais avec légèreté et poésie. Pas de véritable surprise dans l'histoire mais un récit agréable à lire. L'auteur faire surgir le merveilleux dans notre univers quotidien pour mieux affronter la tristesse d'une certaine situation. 
Bottero est un auteur que j'apprécie beaucoup et je ne saurais que conseillé ce petit bijou de la littérature jeunesse. 

178, 179 et 180 : la trilogie du "Complexe du chimpanzéé

Mes cent-soixante-dix-huitième, cent-soixante-dix-neuvième et cent-quatre-vingtième lectures sont le trilogie des BD du Complexe du chimpanzé
Voici le synopsis du premier tome : "2035. Une étrange capsule spatiale s'abîme dans l'Océan Indien et est récupérer par l'US Navy. Lorsque les deux rescapés déclinent leur identité, ils sont immédiatement mis au secret.
Hélène Friedman est chargée de les interroger. Elle doit bientôt se rendre à l'évidence, les deux prisonniers sont bien Neil Armstrong et Buzz Aldrin. mais alors, qui sont les hommes revenus de la mission Apollo, 64 ans plus tôt ?
Une mission lunaire est organisée pour percer ce mystère. Hélène s'engage pour une mission qui l'emmènera bien au-delà de ses espérances."

Si j'ai apprécié les deux premiers tomes, je n'ai pas vraiment aimé la conclusion de cette trilogie qui m'a semblé bâclée. J'avais espéré quelques réponses, ou une chute,  mais grâce à un deus ex machina tout semble se résoudre avec de bons sentiments enrobés de guimauve. Bref, une déception alors que l'histoire promettait mieux. 

177. La nature en hiver

Ma cent-soixante-dix-septième lecture est un guide nature de la Salamandre dans la collection "Observer et comprendre"


J'avoue avoir plus parcouru que lu ce guide fort intéressant. 
Il présente tout d'abord le climat de l'hiver : avec la neige et les nuages. Puis la végétation avec les résineux et les bourgeons des feuillus, et même les lichens. Enfin la faune avec les mammifères, les oiseaux, les traces que laissent certains animaux et enfin les stratégies de survie de différents animaux. 

Un guide que je suis bien tentée d'acheter pour de prochaines ballades car je l'ai juste emprunté à la bibliothèque. Je pense que je craquerai et que je me l'offrirai pour me promener avec ma famille : c'est le genre de guide que j'aimerais avoir dans mon sac lors de sorties nature.   Il est assez complet, très clair et bien illustré. 

jeudi 29 décembre 2016

176. Le monstre poilu

Ma cent-soixante-seizième lecture est un livre jeunesse de Henriette Bichonnier : 

Voici une lecture très régressive puisqu'il s'agit d'un livre que j'ai adoré quand j"étais petite. Je l'ai lu et relu un nombre incalculable de fois. L'autre jour, je suis tombée dessus par hasard dans les rayons de la bibliothèque de ma ville. Je l'ai donc emprunté et j'ai savouré cette lecture avec une tartine de Nutella - histoire d'être totalement dans la gourmandise enfantine. 

C'est donc l'histoire d'un monstre poilu de partout -poils au genou- qui rêve de manger des gens -poils aux dents- mais qui doit se contenter de souris -poils au kiki- car il habite dans une forêt isolée -poils au nez. Hélas, un jour un roi -poils aux doigts- passe par là et se faire capturer -poils aux pieds-. En échange de sa liberté -poils au nez- il doit offrir un enfant -poils aux dents-. Hélas, hélas, il rencontre une fillette -poil à la tête- qui n'est autre que la princesse -poils aux fesses. Parviendra-t-elle à échapper au monstre poilu - poils au .... - ???

Bref une lecture très amusante et très enfantine ! 
Un incontournable de la littérature jeunesse !

mercredi 28 décembre 2016

175. La mort en talons aiguilles

Ma cent-soixante-quinzième lecture est un roman que je me suis acheté pour les fêtes (choses rarissime). C'est le cinquième tome de la série Aurora Teagarden de Charlaine Harris : 


Voici le synopsis : "Il faut bien le dire, Aurora Teagarden n’avait jamais porté le sergent détective Jack Burns dans son cœur. Mais le jour où elle voit atterrir son cadavre, largué par avion, au beau milieu de son jardin, le souffle lui manque. Par chance, Roe ne figure pas sur la liste des suspects : elle n’a apparemment rien à voir avec ce meurtre. Pourtant, d’autres phénomènes étranges se produisent révélant un message à elle seule destiné, un code qu’elle a intérêt à déchiffrer avant qu’il ne soit trop tard…"

Cela faisait longtemps que je voulais poursuivre ma lecture de cette série et pour les fêtes je me suis enfin offerts les deux derniers tomes.  Dans cet épisode, Aurora reste fidèle à son habitude et ne cesse de croiser la mort et le crime dans sa vie courante. Il s'agit tout d'abord d'un corps qui tombe d'un avion et atterrit dans sa pelouse, de l'agression d'une collègue ... Finalement, le doute n'est plus permis, elle connait forcément le criminel même si ses motivations ne lui apparaissent pas clairement. 

J'ai adoré ce roman, et j'ai même trouvé le coupable quelques chapitres avant l'héroïne ! 
J'ai hâte de le le tome suivant qui trône sur ma table de chevet !

A lire en dégustant un bon café.

lundi 26 décembre 2016

174. L'épidémie (Gone 4)

Ma cent-soixante-quatorzième lecture est le tome 4 de la série Gone de Michael Grant : 
Voici le synopsis : "Huit mois après que tout les enfants de plus de 14 ans aient disparus de la ville de Perdido Beach, en Californie, les enjeux sont encore en hausse.
    Les enfants de Perdido Beach sont toujours affamés. Malgré l'agitation bouillante laissée derrière eux par tant de batailles, de luttes de pouvoir et de colères divisées, il fait momentanément calme dans Perdido Beach.
    Mais les ennemis dans la zone ne se contentent pas de disparaitre, et dans le silence, les choses mortelles remuent, se développent et découvre une voie libre.
       L'Obscurité a enfin trouvé sa voie dans l'esprit de sa Némésis et le contrôle par une brume de délire et de confusion. Une maladie fortement contagieuse et fatale s'étend à un rythme alarmant aussi sinistres que les insectes prédateurs qui terrorisent Perdido Beach. Et Sam, Astrid, Diana et Caine sont tourmenté par un doute croissant quant a savoir s'ils pourront s'échapper ou même survivre dans la zone.
      Avec tant de bouleversements qui les entourent, quels choix désespérés feront-ils quand il s'agit de sauver ceux qu'ils aiment?"

Un nouvel épisode avec son lots de malheurs et d'atrocités : une sorte de grippe vraiment affreuse, des insectes qui parasitent les animaux comme les humains et les dévorent de l'intérieur, Drake qui a un plan pour s'échapper de sa prison, l'eau potable qui vient à manquer .... On assiste donc à la mort de certains personnages mais aussi à des histoires d'amour, à des ruptures ...
Ce tome repose sur le même schéma que les précédents : une situation précaire qui dégénère peu à peu et laisse place à de nouveaux dangers, un combat final puis un nouvel équilibre tout aussi précaire qu'au début. 
Cela dit, je lirai prochainement l'épisode suivant car j'ai envie de savoir comment évolue l'histoire !


mercredi 21 décembre 2016

173. L'élue

Ma cent-soixante-treizième lecture est le troisième tome de la saga "La sélection" de Keria Cass :


Voici le synopsis : "La sélection prend un ultime tournant. Quant à America, sa vie à changée pour de bon. Et elle est décidée à se battre. Pour Maxon. Mais d'autres concurrentes se sont dangereusement rapprochées du prince. La seule solution: Riposter."

Comme pour les deux premiers, j'ai dévorer ce troisième volet. América s'est éloignée du prince car elle n'ose pas s'avouer ce qu'elle ressent pour lui - et encore moins lui avouer-, qu'elle ne sait plus où elle en est avec Aspen, et qu'elle ne sent pas l'étoffe d'une princesse. de plus, elle doit tenir tête au roi qui la méprise franchement, aux rebelles qui voudraient l'instrumentaliser, à son frère ... Bref, tout ce qui pourrait être si simple devient rapidement si compliqué !


mardi 20 décembre 2016

172. L'élite

Ma cent-soixante-douzième lecture est le deuxième tome de la saga "La séléction" de Keria Cass :

Voici le synonpsis : "La Sélection de 35 candidates s'est réduite comme peau de chagrin, et désormais l'Élite restante n'est plus composée que de 6 prétendantes. L'enjeu pour ces jeunes filles ? Convaincre le Prince Maxon, le Roi et la Reine ses parents, qu'elles sont les mieux à même de monter sur le trône d'Illéa, cette petite monarchie régie par un strict système de castes et déchirée par deux factions de rebelles qui veulent la faire tomber.
Pour America Singer, la donne est encore plus compliquée : ses sentiments pour Maxon viennent se heurter à son amour d'enfance pour Aspen, garde royal qui hante les couloirs du palais, et à son sens aigu de la justice trop souvent déçu par les décisions royales... Entre intrigues de cour, dilemmes tragiques et loyautés divisées, America navigue à vue dans la tourmente, en quête de la décision qui changera à jamais sa vie..."

J'ai dévoré ce tome comme j'avais dévoré le premier. C'est une histoire très midinette mais j'aime bien malgré tout. Et puis certains passages sur l'instauration d'une dictature par le fondateur d'Illéa m'ont intriguée, cela m'a fait penser à de récentes élections. Illéa affirme que tout futur dictateur devrait avant tout amasser de l'argent, que le manque d'expérience en politique est un atout quand les électeurs ne font plus confiance aux politiciens, et qu'il suffit de promettre un changement puis de dresser les gens les uns contre les autres ... Et voilà. 
Bon, allez j'entame le troisième volet !


dimanche 18 décembre 2016

171. La sélection

Ma cent-soixante-et-onzième lecture est le premier tome de la trilogie "La Sélection" de Kiera Cass : 

Voici le synopsis : "35 candidates. 1 couronne. La compétition de leur vie. 
Quand la dystopie rencontre le conte de fées ! 
         Dans un futur proche, les États-Unis et leur dette colossale ont été rachetés par la Chine. Des ruines est née Illeá, une petite monarchie repliée sur elle-même et régie par un système de castes. Face à la misère, des rebelles menacent la famille royale. Un jeu de télé-réalité pourrait bien changer la donne...
    Pour trente-cinq jeunes filles du royaume d'Illeá, la « Sélection » s'annonce comme l'opportunité de leur vie. L'unique chance pour elles de troquer un destin misérable contre une vie de paillettes. L'unique occasion d'habiter dans un palais et de conquérir le cœur du jeune Prince Maxon, l'héritier du trône. Mais pour America Singer, qui a été inscrite d'office à ce jeu par sa mère, être sélectionnée relève plutôt du cauchemar. Cela signifie renoncer à son amour interdit avec Aspen, un soldat de la caste inférieure ; quitter sa famille et entrer dans une compétition sans merci pour une couronne qu'elle ne désire pas ; et vivre dans un palais, cible de constantes attaques de rebelles...
   Puis America rencontre enfin le Prince. En chair et en os. Et tous les plans qu'elle avait échafaudés s'en trouvent bouleversés : l'existence dont elle rêvait avec Aspen supportera-t-elle la comparaison face à cet avenir qu'elle n'aurait jamais osé imaginer ?"

Comme la couverte l'annonce, il s'agit d'une dystopie très "chick lit" (très romance) un peu midinette. Mais cela ne gâche rien au plaisir de la lecture, bien au contraire. On est ici dans un univers très féminin, et l'héroïne (une jeune fille de 16 ans) se voit confronter à un dilemme amoureux très simple : Aspen (son ex-amoureux qui vient de rompre) ou le prince Maxon (qui s'avère être plus humain et gentil qu'elle ne l'imaginait). Oui, même si je trouve que le synopsis plus haut est bien fait, je ne suis pas d'accord avec la dernière phrase. pour moi América n'hésite pas entre deux vies mais entre deux amours : l'un est passionné mais orageux et peu stable, l'autre est plus doux, plus romantique et naissant. 
Bref, autant vous dire que j'ai hâte d'entamer le tome 2 !

A lire tranquillement pelotonnée sur le canapé avec une tasse de thé ou de chocolat chaud. 

samedi 17 décembre 2016

170. Promesse

Ma cent-soixante-dixième lecture est l'épisode 6 des Enquêtes du département V : "Promesse" de Jussi Alder-Olsen :

Voici le synopsis :
"Bornholm, une île danoise de la mer baltique, fin des années 1990. Le cadavre d'une jeune fille est retrouvé dans un arbre, son vélo broyé au bord de la route. Aucune trace du chauffard : affaire classée. Sauf pour un inspecteur de la police locale qui finit dix-sept ans plus tard par demander l'aide de l'inspecteur Carl Mørck. Avant de se tirer une balle dans la tête.

À l'initiative de Rose, l'assistante du flegmatique Mørck, l'insolite trio du Département V en charge des cold cases débarque sur l'île de Bornholm. En remuant le passé, ils prennent le risque de réveiller de vieux démons..."

J'ai adoré ce nouvel épisode qui se place au coeur d'une secte mais aussi de secrets de famille... J'aime toujours autant le mélange des temporalités du récit, les différents points de vue narratifs mais le mystère que représente Assad, le coté ours mal léché de Carl ...
A lire à l'ombre d'un arbre ou lors d'un bain de soleil ...

samedi 3 décembre 2016

169. Au pays des hommes blancs

Ma cent-soixante-neuvième lecture est Au pays des hommes blancs, mémoires d'un papou en occident de Mundiya Kepanga.

Ce livre est un peu étrange, car l'auteur est un analphabète qui ne sait donc ni lire ni écrire (à part son propre nom ... et cela il l'a appris pour dédicacer son livre) ! C'est donc la retranscription, la traduction des ses entretiens avec un reporter français, Marc Dozier, qui ont eu lieu en langue pidgin (la langue de Papouasie-Nouvelle-Calédonie) qui n'est ni langue maternelle du reporter français, ni la langue maternelle du chef papou.
Mundiya Kepanga a rencontré Marc Dozier alors que celui-ci faisait un reportage en Papouasie, ils se sont liés d'amitié et Mundiya est venu plusieurs fois en Europe, surtout en France, mais aussi aux USA. Ce chef papou, qui vit de la culture de sa terre, a été reçu par les hommes politiques, les célébrités (Robert Redford ...), les écoles, les universités, mais il a aussi rencontré des pêcheurs, des agriculteurs, des retraités ... a découvert le carnaval, le ski, la fondue savoyarde, le Lido ...
De ses voyages, de son observation de notre culture occidentale est donc né ce livre, aux réflexions parfois étonnantes, qui peuvent faire sourire mais aussi réfléchir.
Autant vous dire que je l'ai lu d'une traite tant j'ai aimé. Seul bémol, la préface un peu longue de Marc Dozier.

"C'est vous, les Blancs, qui avez inventé les livres. Moi, je ne sais ni lire ni écrire... mais j'ai beaucoup de choses à raconter sur votre monde ! Je m'appelle Mundiya Kepanga et je suis un Papou de la tribu des Hulis en Papouasie-Nouvelle-Guinée. J'ai eu la chance de voyager en Europe et d'observer beaucoup de vos coutumes étranges : les femmes gratuites, les médicaments contre les enfants, la soupe de fromage... J'ai beaucoup de respect pour vos traditions mais honnêtement, les hommes blancs sont vraiment des sauvages !"


Un livre que je recommande chaleureusement à tous !