Ma cent-cinquante-et-unième lecture une la quatrième tome de la saga Aya de Yopougon de Marguerite Abouet et Clément Oubrerie.
Voici le synopsis : "Inno, coiffeur pour dames stylées, débarque à Paris et lance la mode de la coupe Grace Jones dans un foyer malien. Pendant ce temps, en Côte d'Ivoire, Aya est harcelée par un professeur de fac, le père de Félicité surgit de nulle part pour récupérer sa fille devenue mannequin et Mamadou subvient aux besoins de sa petite famille en faisant le gigolo."
Un épisode qui est plutôt centré sur les personnages masculin de cette série : Innocent, qui arrive à Paris mais qui n'est pas bien accueilli par son cousin, tente de s'acclimater à al vie en France mais il a du mal à en comprendre les règles. Mamadou, qui travaille comme représentant du garage d'Hervé et qui devient gigolo, veut enfin prendre soin de sa famille. Hervé se demande quand il aura enfin une petite amie.
Les personnages féminins ne sont pas reste : la secrétaire (et maitresse) du père d'Aya se voit proposer une vie de couple, se qui rend le père d'Aya fou de jalousie. Félicité, la gagnante du concours de beauté de Yopougon, voit arriver son père qui réclame son salaire et Aya, la pauvre, la voici harcelée par un professeur et découvre que les autres étudiantes préfère céder à se genre de pratique afin de réussir leurs études.
Bref, encore une fois, un excellent tome. J'ai hâte de lire la suite.
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