Ma cent-cinquante-deuxième lecture est une monographie de Patrick Bade sur Félicien Rops, un artiste du XIX° siècle.
C'est un livre que l'on m'avait prêté il y a longtemps, il commençait tout doucement à prendre la poussière mais aujourd'hui j'ai eu subitement envie de lire. Et voilà.
Félicien Rops est un artiste dont j'ignorais tout - ou presque car je ne connaissais de lui qu'une de ses oeuvres "la dame au cochon" ... qui reste de loin ma préférée e cet auteur aux oeuvres un peu osées ou légères.
L'auteur, tout comme beaucoup d'artiste de son époque, s'avère assez misogyne et assez porté sur les plaisirs de la chair. S'il s'est montré très peu fidèle à son épouse, il finit sa vie en se "casant" avec deux femmes, deux soeurs qui signaient d'un seul prénom Aurélion (en mélangeant donc leur prénom). Quant à son oeuvre, Félicien a fait des peintures à l'huile mais surtout) à la gouache, à travaillé à l'eau forte mais aussi au crayon. Il a aussi fait de nombreuses lithographies. Ses sujets de prédilections étaient les femmes, la mort, le blasphème ....
Depuis quelques temps, je me suis remise à la lecture. Je lis désormais avec entrain et participe même à des échanges et des challenges. Vous trouverez dans ce blog tout ce qui concerne mon univers livresque
lundi 31 octobre 2016
vendredi 28 octobre 2016
151. Aya de Yopuogon 4
Ma cent-cinquante-et-unième lecture une la quatrième tome de la saga Aya de Yopougon de Marguerite Abouet et Clément Oubrerie.
Voici le synopsis : "Inno, coiffeur pour dames stylées, débarque à Paris et lance la mode de la coupe Grace Jones dans un foyer malien. Pendant ce temps, en Côte d'Ivoire, Aya est harcelée par un professeur de fac, le père de Félicité surgit de nulle part pour récupérer sa fille devenue mannequin et Mamadou subvient aux besoins de sa petite famille en faisant le gigolo."
Un épisode qui est plutôt centré sur les personnages masculin de cette série : Innocent, qui arrive à Paris mais qui n'est pas bien accueilli par son cousin, tente de s'acclimater à al vie en France mais il a du mal à en comprendre les règles. Mamadou, qui travaille comme représentant du garage d'Hervé et qui devient gigolo, veut enfin prendre soin de sa famille. Hervé se demande quand il aura enfin une petite amie.
Les personnages féminins ne sont pas reste : la secrétaire (et maitresse) du père d'Aya se voit proposer une vie de couple, se qui rend le père d'Aya fou de jalousie. Félicité, la gagnante du concours de beauté de Yopougon, voit arriver son père qui réclame son salaire et Aya, la pauvre, la voici harcelée par un professeur et découvre que les autres étudiantes préfère céder à se genre de pratique afin de réussir leurs études.
Bref, encore une fois, un excellent tome. J'ai hâte de lire la suite.
Voici le synopsis : "Inno, coiffeur pour dames stylées, débarque à Paris et lance la mode de la coupe Grace Jones dans un foyer malien. Pendant ce temps, en Côte d'Ivoire, Aya est harcelée par un professeur de fac, le père de Félicité surgit de nulle part pour récupérer sa fille devenue mannequin et Mamadou subvient aux besoins de sa petite famille en faisant le gigolo."
Un épisode qui est plutôt centré sur les personnages masculin de cette série : Innocent, qui arrive à Paris mais qui n'est pas bien accueilli par son cousin, tente de s'acclimater à al vie en France mais il a du mal à en comprendre les règles. Mamadou, qui travaille comme représentant du garage d'Hervé et qui devient gigolo, veut enfin prendre soin de sa famille. Hervé se demande quand il aura enfin une petite amie.
Les personnages féminins ne sont pas reste : la secrétaire (et maitresse) du père d'Aya se voit proposer une vie de couple, se qui rend le père d'Aya fou de jalousie. Félicité, la gagnante du concours de beauté de Yopougon, voit arriver son père qui réclame son salaire et Aya, la pauvre, la voici harcelée par un professeur et découvre que les autres étudiantes préfère céder à se genre de pratique afin de réussir leurs études.
Bref, encore une fois, un excellent tome. J'ai hâte de lire la suite.
jeudi 27 octobre 2016
150. Divergente 2
Ma cent-cinquantième lecture est le deuxième volet de la saga Divergente de Véronica Roth.
On retrouve Tris dont le monde vient de s'écrouler : ses parents viennent de mourir, sa faction d'origine a été massacrée, sa faction d'accueil est devenue criminelle sans le vouloir. heureusement, elle est avec Quatre et son frère Caleb. Ensemble, il cherche refuge chez les Fraternels, une faction pacifique mais aussi trop passive.
Tris est dévoré par le chagrin et par la culpabilité, mais elle va devoir faire face et se battre pour sauver ce qu'elle peut de son monde et peut-être découvrir la vérité ... car un secret est au coeur de tout cela, un secret jalousement gardé, un secret qui pourrait bien tout changer si Tris arrive à le découvrir et à le révéler...
J'ai dévore ce deuxième épisode et j'ai hâte de lire l'épisode suivant.
On retrouve Tris dont le monde vient de s'écrouler : ses parents viennent de mourir, sa faction d'origine a été massacrée, sa faction d'accueil est devenue criminelle sans le vouloir. heureusement, elle est avec Quatre et son frère Caleb. Ensemble, il cherche refuge chez les Fraternels, une faction pacifique mais aussi trop passive.
Tris est dévoré par le chagrin et par la culpabilité, mais elle va devoir faire face et se battre pour sauver ce qu'elle peut de son monde et peut-être découvrir la vérité ... car un secret est au coeur de tout cela, un secret jalousement gardé, un secret qui pourrait bien tout changer si Tris arrive à le découvrir et à le révéler...
J'ai dévore ce deuxième épisode et j'ai hâte de lire l'épisode suivant.
mercredi 26 octobre 2016
149. Les comtes de Grimm
Ma cent-quarante-neuvième lecture est un album des contes de Grimm.
J'ai commencé ce livre il y a des mois et, après une longue pause, j'ai repris cette lecture.
J'ai retrouvé plein de contes que je connaissais mais j'en ai découvert aussi beaucoup d'autres.
Je les ai lus à haute voix pour endormir mon fils.
Je le relirai probablement : il y a tellement de contes incontournables !
J'ai commencé ce livre il y a des mois et, après une longue pause, j'ai repris cette lecture.
J'ai retrouvé plein de contes que je connaissais mais j'en ai découvert aussi beaucoup d'autres.
Je les ai lus à haute voix pour endormir mon fils.
Je le relirai probablement : il y a tellement de contes incontournables !
mardi 25 octobre 2016
148. Les légendes noires
Ma cent-quarante-huitième lecture est un livre d'Histoire de Sohie Lamoureux et Virginie Berthemet : Les légendes noires : anthologie des personnages détestés de l'Histoire.
Voici le synopsis : "Nous sommes tous plus ou moins familiers des grands héros de l’Histoire, mais que dire des autres : les fous, les traitres, les tyrans, les criminels, les dictateurs, massacreurs, salauds et horribles…? Les Légendes Noires nous invitent à rencontrer ces personnages abominables, méprisés, détestés ou violemment controversés, qui ont souvent horrifié leurs contemporains mais n’en ont pas moins joué, en leur temps, un rôle marquant sur le plan historique. Nécessaire, utile et édifiant"
Je suis tombée sur ce livre par hasard à la bibliothèque et il m'a tout de suite plu.
Comment résister au charme sulfureux de ses personnages : Néron, Henri VIII, Richelieu, Sade, Raspoutine ... ?
Pas de grande révélations historiques dans cet ouvrage, mais une présentation claire de la vie des personnages et des raisons qui les ont rendu haïssables. Et puis, il y a les illustrations !
Un livre à lire peu à peu : si vous enchainez les pages, vous risquez de vous plomber le moral, surtout si vous faites attentions aux nombres de victimes de certains dictateurs et autres grands criminels.
Voici le synopsis : "Nous sommes tous plus ou moins familiers des grands héros de l’Histoire, mais que dire des autres : les fous, les traitres, les tyrans, les criminels, les dictateurs, massacreurs, salauds et horribles…? Les Légendes Noires nous invitent à rencontrer ces personnages abominables, méprisés, détestés ou violemment controversés, qui ont souvent horrifié leurs contemporains mais n’en ont pas moins joué, en leur temps, un rôle marquant sur le plan historique. Nécessaire, utile et édifiant"
Je suis tombée sur ce livre par hasard à la bibliothèque et il m'a tout de suite plu.
Comment résister au charme sulfureux de ses personnages : Néron, Henri VIII, Richelieu, Sade, Raspoutine ... ?
Pas de grande révélations historiques dans cet ouvrage, mais une présentation claire de la vie des personnages et des raisons qui les ont rendu haïssables. Et puis, il y a les illustrations !
Un livre à lire peu à peu : si vous enchainez les pages, vous risquez de vous plomber le moral, surtout si vous faites attentions aux nombres de victimes de certains dictateurs et autres grands criminels.
lundi 24 octobre 2016
147. L'ombre maudite
Ma cent-quarante-septième lecture est un roman norvégien de Kari F. Braenne : L'ombre maudite.
J 'ai choisi ce livre un peu au hasard, pour participer au challenge des JO des nationalités sur le forum Livraddict. Comme je n'avais encore lu aucun auteur norvégien, je me suis dit "tiens, pourquoi pas la Norvège pour valider l'Europe ? ". Et parmi les romans norvégiens disponible à la bibliothèque, voici celui dont le synopsis m'a plu.
Donc le synopsis :"Trois vies, trois destins, liés par des secrets de famille enfouis au plus profond de la forêt norvégienne, et une malédiction qui frappe trois générations. Wilhem, un jardinier norvégien installé aux États-Unis, reçoit un appel téléphonique de sa mère, Evelyn, une tatie Danielle méchante et pitoyable, vivant seule à Oslo : elle veut réunir à l'occasion de ses quatre-vingt-cinq ans son fils unique et celui qu'elle croit être son petit-fils. Elle ne les a pas vus depuis trente ans mais décide qu'au soir de sa vie l'heure des révélations est venue : elle doit leur raconter son histoire, leur histoire, intimement liée à l'histoire de la Norvège pendant la Seconde Guerre mondiale et à un chalet situé au coeur de la forêt du Hedmark. Un roman dense qui dérange, où les trois voix alternent sublimement, où les souvenirs évoqués au présent révèlent le passé tragique des personnages."
Et je dois dire que j'ai adoré ! Un roman superbe, sombre et parfois un peu angoissant. J'ai beaucoup aimé sa forme chorale : on alterne les personnages (et les générations) et peu à peu le destin de cette famille prend forme, on en découvre les noirs secrets qui plane sur cette famille comme une ombre maudite (et le titre est très bien choisi).
Bref, une belle découverte.
A lire, le soir, à l'orée d'une forêt ou au coin du feu.
J 'ai choisi ce livre un peu au hasard, pour participer au challenge des JO des nationalités sur le forum Livraddict. Comme je n'avais encore lu aucun auteur norvégien, je me suis dit "tiens, pourquoi pas la Norvège pour valider l'Europe ? ". Et parmi les romans norvégiens disponible à la bibliothèque, voici celui dont le synopsis m'a plu.
Donc le synopsis :"Trois vies, trois destins, liés par des secrets de famille enfouis au plus profond de la forêt norvégienne, et une malédiction qui frappe trois générations. Wilhem, un jardinier norvégien installé aux États-Unis, reçoit un appel téléphonique de sa mère, Evelyn, une tatie Danielle méchante et pitoyable, vivant seule à Oslo : elle veut réunir à l'occasion de ses quatre-vingt-cinq ans son fils unique et celui qu'elle croit être son petit-fils. Elle ne les a pas vus depuis trente ans mais décide qu'au soir de sa vie l'heure des révélations est venue : elle doit leur raconter son histoire, leur histoire, intimement liée à l'histoire de la Norvège pendant la Seconde Guerre mondiale et à un chalet situé au coeur de la forêt du Hedmark. Un roman dense qui dérange, où les trois voix alternent sublimement, où les souvenirs évoqués au présent révèlent le passé tragique des personnages."
Et je dois dire que j'ai adoré ! Un roman superbe, sombre et parfois un peu angoissant. J'ai beaucoup aimé sa forme chorale : on alterne les personnages (et les générations) et peu à peu le destin de cette famille prend forme, on en découvre les noirs secrets qui plane sur cette famille comme une ombre maudite (et le titre est très bien choisi).
Bref, une belle découverte.
A lire, le soir, à l'orée d'une forêt ou au coin du feu.
vendredi 14 octobre 2016
146. La couleur de la haine
Ma cent quarante-sixième lecture est un roman jeunesse : la couleur de la haine, le deuxième tome de la saga "Entre chiens et loups" de Malorie Blackman :
Voici le synopsis : "Imaginez un monde. Un monde où tout est noir ou blanc. Où ce qui est noir est riche, puissant et dominant. Où ce qui est blanc est pauvre, opprimé et méprisé.
Noirs et blancs ne se mélangent pas. Jamais. Pourtant, Callie Rose est née. Enfant de l'amour pour Sephy et Callum, ses parents. Enfant de la honte pour le monde entier. Chacun doit alors choisir sons camp et sa couleur. Mais pour certains, cette couleur prend une teinte dangereuse... celle de la haine."
Voici le synopsis : "Imaginez un monde. Un monde où tout est noir ou blanc. Où ce qui est noir est riche, puissant et dominant. Où ce qui est blanc est pauvre, opprimé et méprisé.
Noirs et blancs ne se mélangent pas. Jamais. Pourtant, Callie Rose est née. Enfant de l'amour pour Sephy et Callum, ses parents. Enfant de la honte pour le monde entier. Chacun doit alors choisir sons camp et sa couleur. Mais pour certains, cette couleur prend une teinte dangereuse... celle de la haine."
J'ai retrouvé avec plaisir le personnage de Perséphone, ainsi que ses proches. Enceinte, puis mère de Callie Rose, c'est bien Séphy le centre de cet épisode, qui est également axé sur Jude et sur sa haine qui ne cesse de croître.
Un épisode aussi fort et intense que le premier, et qui me donne envie de lire la suite !
A lire, auprès d'un enfant qui dort ou en écoutant du blues.
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