Ma cinquante-septième lecture est un recueil de contes d'Haïti.
Un recueil qui fait la part belle à eux personnages : Malice, le rusé, et Bouki, le benêt; mais on y rencontre aussi des princesse, une sorcière, une baleine ...
J'ai bien aimé lire ces contes le soir pour endormir mon fils. De plus les illustrations sont jolies, ce qui ne gâte rien. Et puis, il y a cette touche d'exotisme, ces phrases et proverbes en créole qui donnent du piment aux contes.
De plus ce livre est accompagné d'un CD... les textes sont mis en voix et en musique !
Depuis quelques temps, je me suis remise à la lecture. Je lis désormais avec entrain et participe même à des échanges et des challenges. Vous trouverez dans ce blog tout ce qui concerne mon univers livresque
jeudi 28 avril 2016
dimanche 24 avril 2016
56. une cabane au Canada
Ma cinquante-sixième lecture est un livre d'Olaf Candau :
Voici le synopsis : "Sans autre technologie qu'une scie, une hache et un fusil, Olaf Candau s'est enfoncé dans le Yukon, vers le mythe du Grand Nord canadien. Au pays de James Oliver Curwood et jack London, il a construit une cabane. Un an de cabane, un an de silence, de conflits avec les martres et les ours, un an d'échecs avec les poissons, un an à bâtir et à se protéger. Un an de vie, de la vie la plus simple qui soit."
J'ai découvert ce livre au hasard des rayonnages de la médiathèque, le titre m'a tout de suite intriguée et après avoir lu quelques lignes au hasard, je l'ai emprunté.
C'est une belle découverte. J'ai adoré cette ambiance sauvage, ce voyage quasi immobile dans le Grand Nord (est-ce déjà le Grand Nord ?). La forêt sauvage, sa faune (ours, loups, élans, coqs de bruyères, martres, souris ...), les saisons qui défilent, la solitude mais aussi les rencontres humaines ...
Bref, un coup de coeur pour ce récit mené simplement, tout autant que l'expérience vécue.
Voici le synopsis : "Sans autre technologie qu'une scie, une hache et un fusil, Olaf Candau s'est enfoncé dans le Yukon, vers le mythe du Grand Nord canadien. Au pays de James Oliver Curwood et jack London, il a construit une cabane. Un an de cabane, un an de silence, de conflits avec les martres et les ours, un an d'échecs avec les poissons, un an à bâtir et à se protéger. Un an de vie, de la vie la plus simple qui soit."
J'ai découvert ce livre au hasard des rayonnages de la médiathèque, le titre m'a tout de suite intriguée et après avoir lu quelques lignes au hasard, je l'ai emprunté.
C'est une belle découverte. J'ai adoré cette ambiance sauvage, ce voyage quasi immobile dans le Grand Nord (est-ce déjà le Grand Nord ?). La forêt sauvage, sa faune (ours, loups, élans, coqs de bruyères, martres, souris ...), les saisons qui défilent, la solitude mais aussi les rencontres humaines ...
Bref, un coup de coeur pour ce récit mené simplement, tout autant que l'expérience vécue.
vendredi 22 avril 2016
un peu de vocabulaire #14 : aujourd'hui des mots forestiers
Dans cet article, je vous présente des rencontrer en lisant un guide sur la forêt ... donc des mots sur les arbres !
Le liber est une fine couche de cellules qui sont adossées au bois (mais sous l'écorce) et qui servent à transporter la sève de l'arbre.
Le cambium est le tissus situé entre le bois et l'écorce d'un arbre.
L'aubier est le bois "vivant" du tronc, c'est là que circule les substances nutritives de l'arbre (le bois de coeur est trop serré). Parfois l'aubier et le bois de coeur n'ont pas la même couleur et quand on coupe un arbre il est alors facile de les distinguer.
Les radicelles sont les fines racines (personnellement je trouve que cela ressemble à des "poils" de racines), ce sont elles qui captent l'eau dont a besoin l'arbre.
Un arbre-lyre est un arbre à deux cimes (généralement parce que sa cime a été tronquée et que deux branches ont alors poussé à la verticale pour la remplacer)
Un "balai de sorcière" est une branche avec un renflement (signe que le bois a été attaqué par un parasite, un champignon ...), renflement qui peut porter plusieurs rameaux.
Attention, un mot qui ne sera pas facile à placer dans une conversation : la dendrochonologie est l'étude du climat à travers les arbres (et leurs cernes).
55. Un barrage contre le Pacifique
Ma cinquante-cinquième lecture est un roman de Marguerite Duras :
Voici un extrait qui présente assez bien le livre : «Les barrages de la mère dans la plaine, c'était le grand malheur et la grande rigolade à la fois, ça dépendait des jours. C'était la grande rigolade du grand malheur. C'était terrible et c'était marrant. Ça dépendait de quel côté on se plaçait, du côté de la mer qui les avait fichus en l'air, ces barrages, d'un seul coup d'un seul, du côté des crabes qui en avaient fait des passoires, ou au contraire, du côté de ceux qui avaient mis six mois à les construire dans l'oubli total des méfaits pourtant certains de la mer et des crabes. Ce qui était étonnant c'était qu'ils avaient été deux cents à oublier ça en se mettant au travail.»
Personnellement j'ai eu du mal à accrocher à ce livre et j'ai du faire un effort pour le finir. Pourtant, c'est assez bien écrit, et même si l'auteur revient plusieurs fois sur les même évènements, c'est pour en mettre en lumières des aspects différents qui permettent de mieux comprendre les personnages et l'enchainement des actions. Car tout ce joue : les personnages -surtout la mère- sont pris dans un engrenage d'échecs, de déceptions et de d"illusions. La misère, l'injustice et la malchance semblent les accabler.
Et malgré tout cela, ou peut-être à cause de tout cela, de ce détachement dans l'écriture même, de cette distance, je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, à me perdre dans l'illusion romanesque, je suis comme restée à la surface de ce livre sans pouvoir plonger dans l'histoire.
Voici un extrait qui présente assez bien le livre : «Les barrages de la mère dans la plaine, c'était le grand malheur et la grande rigolade à la fois, ça dépendait des jours. C'était la grande rigolade du grand malheur. C'était terrible et c'était marrant. Ça dépendait de quel côté on se plaçait, du côté de la mer qui les avait fichus en l'air, ces barrages, d'un seul coup d'un seul, du côté des crabes qui en avaient fait des passoires, ou au contraire, du côté de ceux qui avaient mis six mois à les construire dans l'oubli total des méfaits pourtant certains de la mer et des crabes. Ce qui était étonnant c'était qu'ils avaient été deux cents à oublier ça en se mettant au travail.»
Personnellement j'ai eu du mal à accrocher à ce livre et j'ai du faire un effort pour le finir. Pourtant, c'est assez bien écrit, et même si l'auteur revient plusieurs fois sur les même évènements, c'est pour en mettre en lumières des aspects différents qui permettent de mieux comprendre les personnages et l'enchainement des actions. Car tout ce joue : les personnages -surtout la mère- sont pris dans un engrenage d'échecs, de déceptions et de d"illusions. La misère, l'injustice et la malchance semblent les accabler.
Et malgré tout cela, ou peut-être à cause de tout cela, de ce détachement dans l'écriture même, de cette distance, je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, à me perdre dans l'illusion romanesque, je suis comme restée à la surface de ce livre sans pouvoir plonger dans l'histoire.
jeudi 21 avril 2016
54. un guide nature
Ma cinquante-quatrième lecture est un guide nature que j'ai emprunté à la bibliothèque.
Un joli guide pour ceux qui veulent découvrir la nature, idéal pour un premier guide sur la nature. On y découvre les animaux et les plantes que l'on peut assez facilement voir en se promenant tout simplement.
Un livre assez bien construit, avec des parties sur le printemps, l'été, la nuit et l'aube ....
Un joli guide pour ceux qui veulent découvrir la nature, idéal pour un premier guide sur la nature. On y découvre les animaux et les plantes que l'on peut assez facilement voir en se promenant tout simplement.
Un livre assez bien construit, avec des parties sur le printemps, l'été, la nuit et l'aube ....
mercredi 20 avril 2016
53. Un recueil de contes
Ma cinquante-troisième lecture est un recueil de contes orientaux.
Un lac issu des larmes de milliers de génies, une princesse à épouser, des babouches qui puent ou un destin à réveiller ... Des contes à lire, à relire et à écouter !
Un lac issu des larmes de milliers de génies, une princesse à épouser, des babouches qui puent ou un destin à réveiller ... Des contes à lire, à relire et à écouter !
lundi 18 avril 2016
c'est lundi, que lisez-vous ? #8
En ce moment je lis des recueils de contes, et le petit plus, c'est le CD qui les accompagne, et dans lequel tous les contes sont racontés.
dimanche 17 avril 2016
52. un guide sylvestre
Ma cinquante-deuxième lecture est un guide nature :
J'ai trouvé ce livre à la bibliothèque et je l'ai emprunté en me disant que j'en lirai probablement quelques pages. mais à peine m'étais-je plongée dans ma lecture que je fus captivée.
J'ai beaucoup aimé ce principe de questionnement : une question avec une réponse plus ou moins longue, illustrée de dessins. On découvre ainsi tout le système forestier et principalement celui des arbres : les racine, le bois, le feuillage ... mais aussi l'écosystème de la forêt et sa relation avec l'homme.
Bref un guide captivant qui m'a fait découvrir plein de choses, plein de détails que je ne regarderai plus de la même façon lors de mes promenades. Le sous-titre convient donc très bien à cet ouvrage : "guide des curieux en forêt" car pour bien observer la nature, il faut bien un peu de curiosité !
Un livre qui comptera pour le challenge "à chacun son époque".
Un livre à lire et à relire allongé à l'ombre d'un chêne.
J'ai trouvé ce livre à la bibliothèque et je l'ai emprunté en me disant que j'en lirai probablement quelques pages. mais à peine m'étais-je plongée dans ma lecture que je fus captivée.
J'ai beaucoup aimé ce principe de questionnement : une question avec une réponse plus ou moins longue, illustrée de dessins. On découvre ainsi tout le système forestier et principalement celui des arbres : les racine, le bois, le feuillage ... mais aussi l'écosystème de la forêt et sa relation avec l'homme.
Bref un guide captivant qui m'a fait découvrir plein de choses, plein de détails que je ne regarderai plus de la même façon lors de mes promenades. Le sous-titre convient donc très bien à cet ouvrage : "guide des curieux en forêt" car pour bien observer la nature, il faut bien un peu de curiosité !
Un livre qui comptera pour le challenge "à chacun son époque".
Un livre à lire et à relire allongé à l'ombre d'un chêne.
vendredi 15 avril 2016
un peu de vocabulaire #13
Aujourd'hui, des mots bizarres, encore et toujours trouvés dans l'ouvrage de Colette.
polygala (n. m.) : c'est une plante herbacée à fleur zygomorphe (bon pour ce mot-là, j'ai aussi dû ouvrir le dico, et ça veut dire symétrique) de la famille des polygalacées (qui comprends environ 800 espèces de plantes)
Malgré cette définition assez sévère, le polygala est un joli arbuste aux fleurs souvent roses.
polygala (n. m.) : c'est une plante herbacée à fleur zygomorphe (bon pour ce mot-là, j'ai aussi dû ouvrir le dico, et ça veut dire symétrique) de la famille des polygalacées (qui comprends environ 800 espèces de plantes)
Malgré cette définition assez sévère, le polygala est un joli arbuste aux fleurs souvent roses.
brasiller ( qui viendrait du mot "braise") : scintiller, briller (en parlant de la mer quand la lumière s'y reflète ou quand l'eau est phosphorescente).
jaboter : (qui viendrait tout simplement de "jabot") bavarder à plusieurs - comme dles oiseaux qui poussent des cris en secouant leur jabot.
grasseyer ( qui vient de l'adjectif "gras") : parler gras, de manière gutturale (notamment pour les R).
une gargouillade : il peut s'agit d'un pas de danse un peu tortillé, ou d'un ornement musical de mauvais goût que l'on compare donc à un gargouillis.
mardi 12 avril 2016
51. L'homme invisible
Ma cinquante-et-unième lecture est un roman de H. G. Wells
Franchement, je n'ai pas aimé ! Mais pas du tout. la première moitié du livre consiste à découvrir que l'inconnu mystérieux tout entouré de bandelettes est l'homme invisible. Non ce n'est pas un homme de couleur, non ce n'est pas un handicapé, ni un manchot, non ce n'est ni un revenant ni un esprit ni un démon, non ce n'est pas un hypnotiseur, non ce n'est pas un magicien ni un ventriloque, non ce n'est pas un homme décapité, ... mais c'est un homme invisible. Et donc, on ne peut pas le voir. Car il est invisible. Ensuite, dans la seconde partie du livre on en apprend plus sur lui : son passé, comment il est devenu invisible et surtout on découvre son caractère. L'homme invisible est un égoïste, violent, mégalomane, brutal, cruel ... Bref un type antipathique au pas possible. Un type aussi énervant que le manque d'imagination de ses opposants qui pas une seule seconde n'envisagent de jeter de la peinture (ou de la farine ou quoi que ce soit d'autre) sur l'homme invisible alors qu'ils le traquent avec méthode.
Bref, une lecture décevante à l'histoire très prévisible.
Franchement, je n'ai pas aimé ! Mais pas du tout. la première moitié du livre consiste à découvrir que l'inconnu mystérieux tout entouré de bandelettes est l'homme invisible. Non ce n'est pas un homme de couleur, non ce n'est pas un handicapé, ni un manchot, non ce n'est ni un revenant ni un esprit ni un démon, non ce n'est pas un hypnotiseur, non ce n'est pas un magicien ni un ventriloque, non ce n'est pas un homme décapité, ... mais c'est un homme invisible. Et donc, on ne peut pas le voir. Car il est invisible. Ensuite, dans la seconde partie du livre on en apprend plus sur lui : son passé, comment il est devenu invisible et surtout on découvre son caractère. L'homme invisible est un égoïste, violent, mégalomane, brutal, cruel ... Bref un type antipathique au pas possible. Un type aussi énervant que le manque d'imagination de ses opposants qui pas une seule seconde n'envisagent de jeter de la peinture (ou de la farine ou quoi que ce soit d'autre) sur l'homme invisible alors qu'ils le traquent avec méthode.
Bref, une lecture décevante à l'histoire très prévisible.
lundi 11 avril 2016
c'est lundi, que lisez-vous ? #7
C'est lundi, que lisez-vous en ce moment ?
Moi je lis, enfin je relis -pour le travail- Le Cid de Corneille.
Un vrai régal !
Une histoire d'amour impossible. De l'héroïsme. Un beau dilemme très Cornélien. Et puis un texte magnifique tout en alexandrin, dont le fameux :
"Ô rage ! Ô désespoir ! Ô vieillesse ennemie !"
Moi je lis, enfin je relis -pour le travail- Le Cid de Corneille.
Un vrai régal !
Une histoire d'amour impossible. De l'héroïsme. Un beau dilemme très Cornélien. Et puis un texte magnifique tout en alexandrin, dont le fameux :
"Ô rage ! Ô désespoir ! Ô vieillesse ennemie !"
dimanche 10 avril 2016
50. un manga
Ma cinquantième lecture est un manga de Kaoru Mori : Bride Stories
Voici le synopsis : La vie d’Amir, 20 ans, est bouleversée le jour où elle est envoyée dans le clan voisin pour y être mariée. Elle y rencontre Karluk, son futur époux… un garçon de huit ans son cadet ! Autre village, autres mœurs… La jeune fille, chasseuse accomplie, découvre une existence différente, entre l’aïeule acariâtre, une ribambelle d’enfants et Smith, l’explorateur anglais venu étudier leurs traditions.
Mais avant même que le jeune couple ait eu le temps de se faire à sa nouvelle vie, le couperet tombe : pour conclure une alliance plus avantageuse avec un puissant voisin, le clan d’Amir décide de récupérer la jeune femme coûte que coûte…
Mais avant même que le jeune couple ait eu le temps de se faire à sa nouvelle vie, le couperet tombe : pour conclure une alliance plus avantageuse avec un puissant voisin, le clan d’Amir décide de récupérer la jeune femme coûte que coûte…
Bon, je dois avouer que j'ai emprunté ce manga en en ignorant tout : la documentaliste me l'a juste conseillé en me disant qu'il était vraiment bien. Sans rien savoir de l'histoire, je l'ai donc mis sur ma pile de livre (oui, j'ai aussi emprunter des contes par la même occasion). Une fois rentrée chez moi, je n'ai pu m'empêcher de le feuilleter car j'étais intriguée : de quoi cela pouvait-il bien parler ? Et voilà que je me retrouve plongé dans ce décor d'Asie Centrale, avec une histoire qui m'a captivée tant et si bien que j'ai fini le livre dans la soirée... Et là, un regret : je n'ai emprunté que le premier tome et je dois attendre la fin du mois pour les tomes suivants ... :(
Les dessins sont magnifiques, l'histoire m'a beaucoup plu, elle fait la part belle aux petits riens du quotidien, l'auteur prend le temps d'installer son histoire, de l'ancrer dans un cadre...
Bref, un coup de coeur que je ne peux que chaudement recommander.
samedi 9 avril 2016
49. Sur une île ...
Ma quarante-neuvième lecture est un roman d'Amélie Nothomb : Mercure.
J'ai dévoré ce livre. J'ai bien aimé le huis-clos entre les trois personnages, et même si j'ai découvert assez tôt le secret à propos d'Hazel et que certains passages étaient assez prévisibles, cela ne m'a rien ôté au plaisir de la lecture ... car j'ai surtout apprécié la plume de l'auteur, la psychologie des personnages ... Un vrai régal ! Et le côté insulaire de l'histoire renforce le huis-clos, les tensions entre les protagonistes et m'a tenu en haleine.
Bref, un coup de coeur pour ce roman !
Une lecture qui sera la fille de la famille Colorlemonde (blanc) pour le jeu des 7 familles !
J'ai dévoré ce livre. J'ai bien aimé le huis-clos entre les trois personnages, et même si j'ai découvert assez tôt le secret à propos d'Hazel et que certains passages étaient assez prévisibles, cela ne m'a rien ôté au plaisir de la lecture ... car j'ai surtout apprécié la plume de l'auteur, la psychologie des personnages ... Un vrai régal ! Et le côté insulaire de l'histoire renforce le huis-clos, les tensions entre les protagonistes et m'a tenu en haleine.
Bref, un coup de coeur pour ce roman !
Une lecture qui sera la fille de la famille Colorlemonde (blanc) pour le jeu des 7 familles !
vendredi 8 avril 2016
un peu de vocabulaire #12
Toujours puisés dans ma lecture de Colette, voici les pavés en tête de chat :
il s'agit de galets posés sur le côté pour paver une rue ou une cour. Ces pavés ou galets ont été charriés par les rivières et les fleurs et sont donc arrondis. Cela donne un effet très joli bien que j'avoue avoir du mal à marcher en chaussures légères sur de tels pavés - et cela doit être galère pour les cyclistes ! Cela dit, je trouve que c'est une jolie expression "en tête de chat" ...
il s'agit de galets posés sur le côté pour paver une rue ou une cour. Ces pavés ou galets ont été charriés par les rivières et les fleurs et sont donc arrondis. Cela donne un effet très joli bien que j'avoue avoir du mal à marcher en chaussures légères sur de tels pavés - et cela doit être galère pour les cyclistes ! Cela dit, je trouve que c'est une jolie expression "en tête de chat" ...
jeudi 7 avril 2016
48. encore un album jeunesse
Ma quarante-huitième lecture est encore un album jeunesse : une version de l'histoire de la grenouille à grande bouche.
Voici le synopsis : "Une grenouille vit, bien tranquille, dans sa mare, installée confortablement sur un nénuphar. Pour son petit-déjeuner, son déjeuner et son dîner, elle gobe des mouches. Jusqu'à l'écœurement… Bien décidée à changer de régime alimentaire, elle interroge la vache, le lapin et le merle pour savoir ce qu'ils mangent. Jusqu'à sa rencontre avec le héron, grand amateur de grenouille à grande bouche !"
En furetant dans le rayon jeunesse d'une libraire, je suis tombée sur cet album. L'histoire est répétitive à souhait mais pas trop, revisitant le conte de cette grenouille à grande bouche avec drôlerie, la typographie alterne petits et grands caractères. Quant aux illustrations : elles sont magnifiques et j'ai adoré leur côté un peu rétro. J'ai aussi apprécié le petit format carré de ce livre. Bref, je suis tombé sous le charme !
Un album que je relirai souvent à mon fils.
Voici le synopsis : "Une grenouille vit, bien tranquille, dans sa mare, installée confortablement sur un nénuphar. Pour son petit-déjeuner, son déjeuner et son dîner, elle gobe des mouches. Jusqu'à l'écœurement… Bien décidée à changer de régime alimentaire, elle interroge la vache, le lapin et le merle pour savoir ce qu'ils mangent. Jusqu'à sa rencontre avec le héron, grand amateur de grenouille à grande bouche !"
En furetant dans le rayon jeunesse d'une libraire, je suis tombée sur cet album. L'histoire est répétitive à souhait mais pas trop, revisitant le conte de cette grenouille à grande bouche avec drôlerie, la typographie alterne petits et grands caractères. Quant aux illustrations : elles sont magnifiques et j'ai adoré leur côté un peu rétro. J'ai aussi apprécié le petit format carré de ce livre. Bref, je suis tombé sous le charme !
Un album que je relirai souvent à mon fils.
mercredi 6 avril 2016
47. un joli album jeunesse
Ma quarante-septième lecture est un magnifique album jeunesse : Courez, courez, petits singes !
L'histoire est assez simple et répétitive : 3 petits singes espiègles et chanceux tentent d'échapper à trois léopards affamés et balourds.
J'ai adoré l'esthétisme de cet album. Les dessins sur fond clair ressortent bien et le graphisme est simple et efficace. Et puis, il y a aussi toute une galerie d'animaux plaisants à découvrir : le boa, les buffles ...
Bref, un album que je relirai régulièrement pour mon fils.
L'histoire est assez simple et répétitive : 3 petits singes espiègles et chanceux tentent d'échapper à trois léopards affamés et balourds.
J'ai adoré l'esthétisme de cet album. Les dessins sur fond clair ressortent bien et le graphisme est simple et efficace. Et puis, il y a aussi toute une galerie d'animaux plaisants à découvrir : le boa, les buffles ...
Bref, un album que je relirai régulièrement pour mon fils.
mardi 5 avril 2016
46. un roman policier
Ma quarante-sixième lecture est un roman policier d'Agatha Christie : Les 7 cadrans.
Le synospis sur la 4ème de couverture m'avait bien plu, aussi je me suis plongée dans la lecture de ce roman :
"La plaisanterie a mal tourné ! De la petite bande de jeunes gens invités à la campagne, Gerry Wade est toujours le dernier à descendre pour le breakfast et les autres décident de le réveiller en fanfare avec huit pendulettes achetées au bazar du village...
Mais le lendemain à midi, Gerry dort encore... De son dernier sommeil : on l'a assassiné avec une forte dose de chloral. Dans la chambre, on ne retrouvera que sept des huit réveils déposés sur le lit. Le huitième ? Il a été jeté par la fenêtre..."
L'histoire m'a rapidement déconcertée, je ne m'attendais pas à un complot d'envergure international et à ce que trois jeunes gens -dont deux jeunes femmes- jouent les espions pour le déjouer avec l'accord tacite d'un policier .... Mais comme toujours avec Agatha Christie je me suis engouffrée dans la plupart des fausses pistes, et bien entendu je n'ai pas trouvé le coupable .... Je ne l'ai même pas soupçonné !
A lire avec une tasse de thé so british, ou comme moi avec quelques carrés de chocolat noir.
Cette lecture comptera comme la mère Colorlemonde (jaune) pour le jeu des 7 famille !
Le synospis sur la 4ème de couverture m'avait bien plu, aussi je me suis plongée dans la lecture de ce roman :
"La plaisanterie a mal tourné ! De la petite bande de jeunes gens invités à la campagne, Gerry Wade est toujours le dernier à descendre pour le breakfast et les autres décident de le réveiller en fanfare avec huit pendulettes achetées au bazar du village...
Mais le lendemain à midi, Gerry dort encore... De son dernier sommeil : on l'a assassiné avec une forte dose de chloral. Dans la chambre, on ne retrouvera que sept des huit réveils déposés sur le lit. Le huitième ? Il a été jeté par la fenêtre..."
L'histoire m'a rapidement déconcertée, je ne m'attendais pas à un complot d'envergure international et à ce que trois jeunes gens -dont deux jeunes femmes- jouent les espions pour le déjouer avec l'accord tacite d'un policier .... Mais comme toujours avec Agatha Christie je me suis engouffrée dans la plupart des fausses pistes, et bien entendu je n'ai pas trouvé le coupable .... Je ne l'ai même pas soupçonné !
A lire avec une tasse de thé so british, ou comme moi avec quelques carrés de chocolat noir.
Cette lecture comptera comme la mère Colorlemonde (jaune) pour le jeu des 7 famille !
lundi 4 avril 2016
45. Emma
Ma quarante-cinquième lecture est un chef d'oeuvre de Jane Austen :
Voici le synopsis :" Orpheline de mère, seule auprès d'un père en mauvaise santé, Emma Woodhouse, désormais la maîtresse de maison, s'est mis en tête de marier Harriet Smith, une jeune fille qu'elle a recueillie chez elle. Ce faisant, ne s'est-elle pas attribué un rôle qui n'est pas (ou pas encore) pour elle ? Son inexpérience des coeurs et des êtres, ses propres émotions amoureuses, qu'elle ne sait guère interpréter ou traduire, lui vaudront bien des déconvenues et des découvertes."
Ce livre est un gros coup de coeur, j'ai tout simplement adoré. Il semble ne rien se passer : une partie de carte,une promenade, un repas, un bal, un pique-nique ... et pourtant, il se passe tant de chose à l'intérieur des personnages. Car toute l'intrigue repose sur l'évolution des caractères et des sentiments.
Jane Austen sait donner vie à ses personnages, les plus importants comme les second rôles, tous m'ont passionnés. L'auteur sait aussi rendre la société de son époque, montre l'importance du rang social dans le mariage.
Si l'entrée dans ce livre où l'action est assez réduite m'a un peu rebutée, je me suis rapidement laissée emporter la violence des sentiments, le côté cocasse de certaines situations et de certains quiproquos, la beauté du style de l'auteur ...
Bref, j'ai adoré. Autant qu'Orgueil et Préjugés ! Et les 500 et quelques pages m'ont semblé filer sous mes doigts plus vite que je ne l'aurais voulu.
Cette lecture compte pour le jeu des 7 famille : Emma sera ma grand-mère Grantécran.
Voici le synopsis :" Orpheline de mère, seule auprès d'un père en mauvaise santé, Emma Woodhouse, désormais la maîtresse de maison, s'est mis en tête de marier Harriet Smith, une jeune fille qu'elle a recueillie chez elle. Ce faisant, ne s'est-elle pas attribué un rôle qui n'est pas (ou pas encore) pour elle ? Son inexpérience des coeurs et des êtres, ses propres émotions amoureuses, qu'elle ne sait guère interpréter ou traduire, lui vaudront bien des déconvenues et des découvertes."
Ce livre est un gros coup de coeur, j'ai tout simplement adoré. Il semble ne rien se passer : une partie de carte,une promenade, un repas, un bal, un pique-nique ... et pourtant, il se passe tant de chose à l'intérieur des personnages. Car toute l'intrigue repose sur l'évolution des caractères et des sentiments.
Jane Austen sait donner vie à ses personnages, les plus importants comme les second rôles, tous m'ont passionnés. L'auteur sait aussi rendre la société de son époque, montre l'importance du rang social dans le mariage.
Si l'entrée dans ce livre où l'action est assez réduite m'a un peu rebutée, je me suis rapidement laissée emporter la violence des sentiments, le côté cocasse de certaines situations et de certains quiproquos, la beauté du style de l'auteur ...
Bref, j'ai adoré. Autant qu'Orgueil et Préjugés ! Et les 500 et quelques pages m'ont semblé filer sous mes doigts plus vite que je ne l'aurais voulu.
Cette lecture compte pour le jeu des 7 famille : Emma sera ma grand-mère Grantécran.
samedi 2 avril 2016
44. Encore Pâques
Ma quarante-quatrième lecture est également un album pour enfant sur Pâques :
Une histoire de chasse aux ourfs de Pâques toute simple et toute gentille.
vendredi 1 avril 2016
43. Une histoire de Pâques
Ma quarante-troisième lectures est un album pour enfant sur le thème de Pâques.
Il s'agit d'une jeune poule qui pond son premier oeuf et veut le montrer au conconours du plus bel oeuf, elle se dépêche tant qu'elle le fait tomber, mais elle le remasse et n'écoute pas ceux qui lui conseille de renoncer, elle court pour arriver à temps au concours.
Une jolie histoires basée sur la répétition.
J'avoue avoir adoré le fait qu'il y ait le CD du conte, mise en voix et (un peu) en musique que je peux ainsi faire écouter et réécouter à mon bambin.
Il s'agit d'une jeune poule qui pond son premier oeuf et veut le montrer au conconours du plus bel oeuf, elle se dépêche tant qu'elle le fait tomber, mais elle le remasse et n'écoute pas ceux qui lui conseille de renoncer, elle court pour arriver à temps au concours.
Une jolie histoires basée sur la répétition.
J'avoue avoir adoré le fait qu'il y ait le CD du conte, mise en voix et (un peu) en musique que je peux ainsi faire écouter et réécouter à mon bambin.
un peu de vocabulaire #11
Voici quelques mots puisés dans un livre de Colette. Des mots élégants mais un peu désuets ...
plombagine (n.f.) : graphite, la matière qui servait à faire les mines de stylo.
une chromolithographie : c'est une impression lithographique en couleurs (qui servait pour les images populaires ou pieuses, pour les publicités et les affiches ...)
un plumetis : c'est une broderie au passé plat (?) rembourrée pour avoir un peu de volume. C'est aussi une toile à double épaisseur dont l'une porte un motif brodé (un motif à pois apparemment).
camard : cet adjectif est une forme péjoratif de "camus" et désigne un nez plat et écrasé.
plombagine (n.f.) : graphite, la matière qui servait à faire les mines de stylo.
une chromolithographie : c'est une impression lithographique en couleurs (qui servait pour les images populaires ou pieuses, pour les publicités et les affiches ...)
un plumetis : c'est une broderie au passé plat (?) rembourrée pour avoir un peu de volume. C'est aussi une toile à double épaisseur dont l'une porte un motif brodé (un motif à pois apparemment).
camard : cet adjectif est une forme péjoratif de "camus" et désigne un nez plat et écrasé.
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